Appauvrissement des femmes, au travers, la fermeture des commerces. C’est l’une des conclusions d’une étude menée sur l’impact de la pandémie à Coronavirus sur les femmes en Côte d’Ivoire. Elle a été exposée à un atelier initié par Women in law and Development in Africa (WILDAF- CI), le vendredi 11 mars dernier, à son siège sis, au Plateau. Au sortir des échanges sur le document, une quinzaine d’organisation non gouvernementale œuvrant pour l’améliorant des conditions de la femme, ont décidé de mettre en place, une alliance pour réduire l’impact de la COVID-19 sur les femmes.
La plateforme s’est donnée pour mission de faire un plaidoyer auprès des décideurs afin que les résolutions arrêtées soient appliquées. « A travers cette initiative, WILDAF-CI a voulu recueillir les réflexions qui vont permettre à la femme de ne pas subir davantage les effets de la COVID-19. On sait déjà que la femme est en situation d’infériorité par rapport à l’homme et qu’elle subit des désagréments dans sa vie de tous les jours ; lesquels ont été accentués par la COVID-19. Il faut faire en sorte que cet écart ne continue pas de se creuser ». a soutenu Fadika Coulibaly, la présidente de WILDAF-CI, expliquant le sens de l’atelier.
En autre autres recommandations faites par les participants, la facilitation de l’accès aux financements pour les femmes pour relancer leurs activités d’entrepreneuriat; des projets de formation pour le renforcement des capacités des femmes ; la création d’une cellule spéciale pour la prise en compte de la situation des femmes.
Au nombre des Ong, figure la Ligue ivoirienne des Droits de l’Homme (LIDHO), Espoir Handicap, Ivoire performance, Vie et santé en Côte d’Ivoire, WILDAF-CI.
César Ebrokié
Hello,
Send unlimited emails to unlimited lists with one click and no monthly fees!
$99 once off!
LifeMailNow.com