La voix est claire, le ton vif. De retour à Paris, où il vit exilé depuis six mois, Guillaume Soro ne semble pas marqué par son come-back manqué de lundi en Côte d’Ivoire. “Je vais bien”, lâche d’emblée l’ancien président de l’Assemblée nationale, contre qui les autorités de son pays viennent pourtant d’émettre un mandat d’arrêt international. Au JDD, celui qui a aussi été Premier ministre sous Gbagbo puis Ouattara, confie son intention de faire campagne. Il réfute cependant toute volonté de prendre les armes : “Il ne s’agit que de résistance politique.” Il dit aussi sa déception du peu de soutien de la France. Lire la suite Lire la suite
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